Madame XY. appelle le Président du Conseil Syndical ce jour à 11:57. Invité à constater, celui-ci abandonne son travail et se rend sur place sans délai, immeuble A.
Passant dans la cour, il aperçoit les ouvriers d’Atelier Contrôle (AC) venant tout juste de terminer les travaux de remplacement d’une conduite d’évacuation des eaux vannes située au niveau de la boulangerie.
Il leur demande alors, étant sur place et s’ils pouvaient, d’aller jeter un regard. “Non nous ne pouvons pas car il faudra couper l’eau”.
Une demie-heure plus tard, après avoir réussi à capter l’attention de Mr. J-P. P. du syndic (de 12:13 à 13:21, une première !) , un retour du gérant en personne semble acquis pour revenir dans l’après-midi sans toutefois préciser l’heure…
M. M. d’AC appelle à 14:19. Il arrive dans 10 minutes. Rapide .. bien à 14:27 accompagné d’un intervenant.
Coupure de la colonne d’eau en cave : Interrogation chez Mme. Z. qui grommelle derrière sa porte, puis l’ouvre, l’air atterré. Elle a de l’eau, sa colonne d’alimentation eau froide n’est donc pas interrompue.
Le professionnel est tout aussi surpris d’un tel accueil.
14:47 : Fuite réparée. Ouf !
Tout rentre dans l’ordre..
Enfin, pour l’instant.